La naissance d'Amaranth de Dis

Ma vie était joyeuse avant, le château des Dis emplis des rires de mes soeurs et nos terres étaient prospères. Notre nom était craint, j'avoue que même maintenant je ne sais pourquoi car nos gens d'armes étaient peux nombreux. Mais le regard de mon père et le rire de ma mère mettaient toujours mal à l'aise les seigneurs locaux. On ne pouvait pas dire qu'ils nous aimaient comme des parents normaux. Mais qu'est ce qui est normal en ce bas monde ? Mes soeurs me suffisaient, ils étaient mes parents, ils étaient l'ordre.

Puis vînt le malheur, Naomie ma plus jeune soeur eu une fièvre maligne, son visage portait des stigmates. Pour une fois je vis l'attention de ma mère, mais aucune inquietude son son beau visage. La plus belle femme du royaume disait on, sa beauté froide imprésionnait et était l'objets de nombreux ragots des gueux sur le fait qu'un Alchimiste si autère trouva une femme si belle et qui accepta de rester dans les sombres murs de notre château. M'enfin son calme nous rassurèrent tous et père était le meilleur herboriste, pourtant en disgrace auprès du Roi.

Pauvre Naomie, son calvaire dura longtemps, et hélas le mal s'étenda à tout le château, je fut touché ainsi que les serviteurs. Mon père condamna l'entrée de notre propriété pour que le mal ne s'étendent pas. Malheureusement nos soldats désertèrent.

Je rendis l'âme bien après mes malheureuses soeurs, la dernière image que je garda fut le sourire de ma mère. J'espère qu'elle survécue, elle semblait sereine. Je suis sure qu'elle imaginait que nous serions dans un monde meilleur.

La Mort Noire s'étendendit à tout le royaume, connu maintenant sous le nom des Plangues Lands.

Ce ne fut qu'un prémice à la l'arrivée de la Légion Ardente. Nos corps furent exumés de terres et souillés par une magie corruptrices.

Chaires mortes en premières lignes, les cadavres de mes soeurs furent déchiquetés par les ennemis du Roi Liche au combat. Ma raison déjà défaillante se brisa à cet instant. Folle je devint et meutrière.

Un raid de renegats de la Banshee sur ma garnison, me libéra.

Réprouvés nous devinment, curieusement seul un démoniste pris ma défence alors que tous se mirent d'accord pour me laisser dans la tombe à ma propre folie.

Alors il m'espliqua ce que j'étais, pourquoi j'avais si froid et mal et que le seul réconford était mon délire. Nous qui ne sommes pas complets, nous qui n'avons plus....d'âme !

Nous sommes démonistes, nous sommes touchés par des puissants supérieures qui ont chaqu'un leur marque. La mienne n'était que trop claire. Un faible pouvoir iradit de moi, trace de son empreinte. Le cercle des démonistes des réprouvés me montront le chemin. Mais nous n'abandeneront pas la servitude du Roi Liche pour celle de la Dame Blanche.

Et je l'ai vu à côté d'elle.....comment sont ils assez naïfs pour croire qu'il est à son service....le pouvoir du nom véritable....baliverne......ces réprouvés oublient qu'ils sont les maîtres de la déception. Le Roi Liche, ils n'ont que ce mot à la bouche...mais il n'est qu'un pion comme elle. Un pion pour la prochaine partie. La reine blanche contre le roi noir.

Son regard.....son regard chasse le froid en moi....comme il lui ressemble....se joue t'il de moi en lui ressemblant ? Oui je suis un pion, je suis un fou, de diagonale je me déplace et j'attaque. Mon âme fendue est ma marque.....Beau prince démoniaque, quelle est ma couleur ? Dis moi quelle est ma couleur....toi qui te rit de moi....toi qui voit la marque des tiens....

Froid... j'ai si froid... moi qui suis incomplete....mère...je suis avec toi...mais...mais....pourquoi es tu partie avec mon âme ?